Témoignages
Merci Yann pour ce moment magique et hors du temps. Difficile de trouver les mots tellement cette expérience fut pour moi extraordinaire. Au-delà du bien-être et de la détente du massage, c’est une véritable reconnexion au Sacré de mon corps que j’ai vécu et, grâce à toute la conscience, la lumière et l’amour que tu mets dans ton massage, c’est une communion d’âme à âme où le corps physique est transcendé pour reconnecter à cette puissance créatrice d’Amour… Encore merci pour ta Présence et ta Lumière…Namaste
B.B.
Un massage tantrique…
J’en ai envie, depuis un bout de temps, je suis intriguée, j’hésite, j’ai peur…à quoi m’attendre? Me laisser toucher, accueillir ma nudité, face à lui et surtout, oh oui surtout face à moi-même?
Ok, j’y vais, je contacte Yann et, là, dès le premier instant, je suis accueillie avec bienveillance et attention : prendre le temps. A bien des égards Yann va m’accompagner à prendre le temps. Prendre le temps d’échanger afin de s’entendre sur ce qu’il a à offrir, s’entendre sur mes besoins (et mes craintes) et poser le cadre très clairement en toute délicatesse. Prendre le temps de poser les choses en moi, comment je me sens et choisir en écho.
Je suis en confiance…rendez-vous est pris.
Prendre le temps de se retrouver, se rencontrer…respirer ensemble et laisser nos cœur se connecter. Prendre le temps de se dire, me connecter à mes émotions et ressentis du moment. Mon engagement, le temps du massage, vis-à-vis de moi-même et de Yann : formuler et respecter mes limites, accueillir et vivre mes émotions. On se crée une bulle, bulle de connexion pour nos âmes, nos énergies, nos corps et nos cœurs. Je me laisse y entrer et…quel voyage ! Quel cadeau !
Yann, passeur d’âme, d’énergie entre terre et ciel. Tes mains, ton corps sont au service de l’univers qui vient soigner en moi ce qui a besoin de l’être. Avec justesse, douceur, force, délicatesse, puissance, sensualité, créativité, respect et Amour. A chaque fois, tu es présent, bien là, à mes côtés, quoi que j’aie à traverser. Tu te laisses guider et tout est si juste. Et quelle sécurité intérieure ressentie. Tu m’as permise d’y goûter, à cette sécurité intérieure, le plus beau des présents.
Gratitude, envers moi-même, d’avoir eu confiance et de m’offrir ces temps. D’avoir osé découvrir et d’y être aller sereinement. Gratitude, envers toi Yann, car je n’ai jamais été accueillie ainsi dans le toucher. Cette bulle, je m’en nourris en me connectant à mes ressentis quand j’en ai besoin.
Yann, merci d’avoir posé le choix de travailler dur à ton don, afin de faire éclore ta zone de génie avec tant de générosité.
Alors, de cœur, merci de nous offrir ton don en partage, merci pour ta générosité et ton Amour sur mon chemin.
« L’attention est la forme la plus rare et la plus pure de la générosité » Simone Veil
S.L.
Coucou Yann ! Je ne suis pas encore rentrée chez moi ; et pourtant j’ai besoin de t’écrire encore ce petit mot de 5 lettres…..MERCI. C’est juste un truc incroyable et je te remercie de ce don d’amour… ….Merci de cette magie ; Merci d’être toi jusqu’au bout des doigts.
V.M.
Bonjour Yann, merci infiniment pour ce don magnifique, ce moment d’exception que j’essaie de revivre en conscience pour le prolonger. Un moment hors normes, une révélation, un lien si fort à mon corps et ce bain d’énergie. Je te remercie pour ta générosité et ton engagement hier matin. Je me sent aujourd’hui comme un peu fatiguée et un peu ailleurs… Je digère l’expérience. Belle semaine, merci encore et à bientôt.
M.I.
Mon expérience en massages thérapeutiques tantriques
Séance 1
J’arrive chez Yann. Je ne sais pas à quoi m’attendre. Je n’ai jamais reçu de massage tantra. Je me sens curieuse et j’appréhende à la fois. Je sais que le thème douloureux et récurrent dans ma vie, depuis ma naissance jusqu’il y a peu, c’était les abus, de toute sorte, en particulier l’abus sexuel.
Yann pose le cadre. Je découvre que le massage se fait en principe nus, tous les deux. Je n’avais pas imaginé que le masseur pouvait être nu. Déjà, pour moi, je ne l’envisageais pas, en tout cas pas à découvert. Mes pensées tournent à toute vitesse dans ma tête.
Est-ce que je dois partir au plus vite ? Comment faire ça poliment ?
Est-ce que je dois expérimenter ce qu’il me propose si je veux avancer dans la guérison de ma sexualité sacrée ?
Mon mental s’emballe. Je me fige. Puis je me dis que la vie ne doit pas toujours être hard core. Qu’il n’y a rien que je « doive » faire. Qu’il y a sans doute moyen de proposer un aménagement spécial, juste pour moi. Mais j’entends dans ma tête cette voix du passé qui me rappelle « à quel point je suis chiante : pourquoi faut-il toujours que je complique tout, avec mes requêtes spéciales » ?
Je décide pourtant que je ne vais pas m’adapter. Je respire pour reprendre contact avec mes émotions et identifier mes besoins. C’est trop important. S’ajuster, non plus s’adapter. Je me calme un peu. Alors, comme par transmission de pensée, Yann me dit qu’il peut aussi garder son paréo pendant le massage. Bonne idée. Moi aussi d’ailleurs. OK. Poser mes limites pour arrêter de flipper. Je sais que je donne bien le change, mais en fait, à l’intérieur, c’est panique à bord. Yann m’aide beaucoup en me faisant des suggestions concrètes sur comment cela pourrait se passer.
Avant cette première expérience, je ne comprenais pas pourquoi proposer que le masseur soit nu. Comme si on ne pouvait pas masser quelqu’un habillé ? Quel intérêt qu’il soit nu ?
J’apprends avec ce massage qu’explorer le thème des vêtements et de la nudité, dans mon système nerveux, au travers d’un massage, c’est en fait très puissant. C’est beaucoup plus puissant que d’en parler. Cela me permet d’expérimenter de nouveaux cadres de sécurité.
Parce qu’au fond, un vêtement, c’est symbolique, mais ça n’empêche pas l’abus. Tout comme le feu rouge n’empêche pas la voiture de passer si le chauffeur l’a décidé. Ce qui compte, c’est d’expérimenter la sécurité intérieure en relation avec quelqu’un de respectueux, qui ne me traite pas comme un objet de consommation, qui ne cherche pas à plaire, à séduire, à conquérir, à posséder. Cela paraît évident, et pourtant, cela demande énormément d’éveil et de présence à soi de la part du masseur. Cela se joue dans la subtilité de l’âme. Merci Yann pour cette première expérience de guérison intérieure.
Séance 2
La séance 1 a amorcé dans mon inconscient un processus de régression. J’ai revécu, pendant le mois qui a suivi le premier massage, des expériences dignes de la petite enfance… Oui. Dignes. Quel parcours d’humilité et d’amour de moi je suis en train de faire !
La deuxième séance s’inscrit bien dans ce thème. Des épisodes d’abus sexuel datant de ma prime enfance remontent à la surface pendant le massage. Je les partage avec Yann. Pendant le massage, une partie de ma conscience voyage dans l’astral, c’est délicieux. Mais je sens bien qu’une autre partie de moi reste en hypervigilence. « Ce que cette personne a fait n’était pas correct. Cela ne se produira pas ici avec Yann ». Je respire. Ce n’est pas anodin de recevoir un massage tantra. Ma peau s’exprime. Des petits boutons apparaissent sur tout le haut de mon corps, comme une allergie. « Ne me touchez pas !!! », crie l’enfant en moi.
Cette 2e séance me fait prendre conscience qu’un petit enfant, même nouveau-né, a déjà sa propre énergie sexuelle. C’est une énergie sacrée. Elle lui appartient. Elle le connecte à la vie sur Terre. C’est une énergie pure, vitale et belle.
Je prends conscience que depuis mes premiers jours de vie, j’ai appris à inhiber cette énergie pour ne pas être abusée. Cette stratégie s’est avérée efficace, puisque j’ai survécu jusqu’à présent : elle m’a permis de cadenasser le stress dans une zone de mon cerveau et de grandir autour.
Mais elle est bien sûr dysfonctionnelle. D’abord, elle n’empêche pas l’abus. Au contraire, elle laisse la maison qu’est mon corps « ouverte à tous vents ». Ensuite, inhiber cette énergie entraîne la maladie. Et elle me fait faire des choix de vie qui ne sont ni joyeux ni épanouissants.
Le travail qui s’annonce maintenant est de m’autoriser à ressentir cette énergie de vie dans ma frontière à moi, comme quand j’ai dansé il y a 10 ans dans mon groupe de femmes. La ressentir et l’exprimer, sans avoir peur qu’elle ne soit prise pour du désir de l’autre, et dans la sécurité que l’autre ne viendra pas se servir.
La ressentir, l’exprimer, et la contenir. Voilà l’intention.